Un peu de moi...

Il y a longtemps que je n'ai pas mis les choses à plat, que je n'ai pas pris le temps d'écrire ce qui se passe dans ma vie ou en moi. Je n'arrive pas à identifier ce qui me pousse à le faire aujourd'hui, mais j'en ressens le besoin...alors j'me lance.

Ma vie se décrit en changements ces derniers temps. Dans quelques mois j'aurais 21 ans. D'ici là j'aurai enménagé en appartement avec D., j'aurais terminé mes études, commencé un travail dans mon domaine, j'aurais un pas de plus dans la vie d'adulte. Je crois que je suis prête...et même depuis assez longtemps.

Mais les derniers mois m'ont fragilisés. J'ai vécu depuis janvier des pertes, des peines, des stress intensifs, des émotions déchirantes et une rechute plus ou moins importante, mias une rechute comme je n'en avais pas eu depuis longtemps. Il est vrai que maintenant je suis outillée, si al chute èa été rapide et la remontée se fait très lentement, ce qui me frustait au début me rassure. Si la remonté est si longue c'est que je reconstruit.Tout. Et sur de nouvelles base. J'apprends enfin èa manger selon mes besoins, selon mon bien-être et non selon un cadre alimentaire rigide, selon des normes pleines de chiffres, du 4 groupes alimentaires 3 fois par jours, aux 2 collationn de x grammes de ptotéines. J'apprends l'équilibre. Mon équilibre. Après 10 ans de troublea alimentaires, je commence à croire que manger peut être un plaisir.

Mon rapport à mon corps reste conflictuel. Pas en raison de ce que je vois dans le miroir, pas en raison d'un chiffre sur une balance. J,ai appris trè jeune èa sortir mon esprit de mon corps, n'y voyez pas là quelque chose d'esotérique. La douleur étauit parfois si forte que pour éviter qu'elel ne m'atteigne, je la laissais seulement attteindre mon corps. N'importe qui, n'importe quoi pouvais me faire tout le mal du monde, c'était mon corps qui recevait le coup, moi, l'autre moi je le protégais. Aujorud'hui encore, la réconciliation corps et âme c'est pas faite. J'y travaille et pour cela il faut que j'accepte ce que j'ai vécu, que j'accepte de prendre soin de ce corps que j'ai toujours pointé comme coupable.

Pour en revenir au début. Ma vie change. Ça me fait du bien. Ça me fait aussi terriblement peur. Je vais quitter un univers malsain, je vais couper le fil qui reste entre ma famille et moi...pour me créer une famille à moi. Mon chum et moi...sans eux. Mais l'inconnu m'insécurise. Et si je n'y arrivais pas ? Si je n'étais pas assez forte ? Oui j,ai peur, mais pour une fois je veux me servir de l,énergie de cette peur au lieu de rester figer. POur une foi, je dois prendre tout ça en main, me donner un éaln pour attendre la vie. La vraie vie. Pour enfin vivre au lieu de survivre, survivre en attendant. J'apprivoise la vie, d'un coucher de coleil àa l'amour de l'autre. Du concret à l'abstrait.

MAis quand j'ai envie de dire : c'est beau la vie. La peur devient si forte que je regresse. La mort devient une option. Comme si je ne pouvais vivre cette vie. Come si je ne la méritais pas. Mias aussi comme si dire que la vie est belle est de nier mon passé, de nier la société que je déteste. Oui, je déteste la vie au sens politique, socio-économique...mais j'ai une envie folle de cette vie au naturel et de ce qu'elle représente. Je n'y arive peut-êter pas encore, je reviens de loin...mais un pas àa la fois je crois. Crroire et espérer...jusqu'à ce que la détresse fasse place àa autre chose.

Pour terminer, je dois dire que de tout ce que j'ai vécu, je ne reviendrai totalement jamais. jJ ne serai jamais totalement en adéquation avec les autres. Parce que justement je suis allée ailleurs, j'ai vécu cette émotivité, cette sensibilité qui m'habite et que je ne voudrais perdre pour rien au monde. Parce que tout ce que j'ai vécu m'appartient, m'a modelé, m'a permis de grandir, de voir la vie sous un autre angle...tout ça n'est pas toujours beau et rose, c'est n,est pas toujorus joyeux mais ça ait partie de moi et je veux l,accepter...pour u moins être en adéquation avec moi-même.

Alors, ça fait du bien d'écrire, hein....

«Oui j,ai peur, mais pour une fois je veux me servir de l,énergie de cette peur au lieu de rester figer.»


Voilà une pensée qui raisonne positivement... c'est heureux de lire ça. Il y a effectivement, dans la peur, un moteur. Il peut nous retenir et nous figer ou ... nous propulser au devant. Je te souhiate de tout coeur la deuxième option...

Et déjà tu peux sentir le souffle de liberté qui semble pointer le bout du nez avec ce déménagement à venir... certes, avoir son chez soi peut aussi être une invitation au «laisser-aller».... mais pour y être bien et te connaissant, je crois que tu pourras y trouver la force d'en faire un lieu accueillant, parce que à toi, parce que à ton amoureux, parce que sans les liens tortueux d'avec tes parents...

J'ai hâte d'aller le voir, ton chez toi.

Au fait, je serais à Montréal la fin de semaine des patriotes.... du moins le samedi (travaillerai le dimanche, mais..) et seule en plus, mon chum sera à Québec pour la fête d'un ami. Donc si tu veux venir me visiter, ça ne sera pas de refus, je me sens toujours tellement insécure et seule quand il n'est pas à l'appart.... et je paranoye sur notre relation quand il est loin... grrrr.....

bref.... bienvenue....

Merci de ton écrit et du partage..

xxxx

Je suis contente d entre-lire que tu reprends le dessus... tu m inquiétais un peu. Je te aime tellement fort ma p'tite baby-siter favorite.

vivement un café !!

Marye...ok, je te reserve ce samedi là !!! J'viens passer une journée avec toi, on invitera Crystal, on ira marcher dans un parc et boire un café...on parlera toute la journée...pour rattraper le temps jusqu'èa la prochaine fois...tu me manque !

Ndrou...lil sunshine...je suis comme un chat, je retombe toujjurs sur mes 4 pattes..comme babydoux :) Hâte de te voir aussi...un soir de cette semiane, je te call promis :)

ah oui alors!!! fin de semaine de femmes!!!

jtembrasse xxxxx

Il est tellement plus facile de reprendre le chemin déjà emprunté que d'en choisir un nouveau.

Aujourd'hui, journée intensive de travaux de stage, collée à mon écran d'ordinateur, un pichet d'eau tout près de la main...j'en oublie de manger. D. arrive à la fin de la journée, je suis épuisée et en larme, toujours avec cette impression que je n'y arriverai jamais...je crie à l'imposture, je n'ai aucun potentiel...

Son regard inquiet, ses gestes doux...et sans poser de questions il me dit : viens, tu dois manger. Il sait. Il ne dit rien mais il sait. Il a vécu les derniers mois avec mois, m'a vu renoncer à la nourriture, puis tenter de renouer avec cette source de vie.

Je réalise combien je suis fragile, à quel point je dois faire attention pour ne pas retourner dans mas éternels pattern. Je sais maintenant qu'il est beaucoup plus facile de tomber que de se relever...et je sais combien la chute est dangeureuse. Alors j'ouvre les yeux, je planifie...pour être sure de garder cet équilibre encore si précaire...

Mais j'ai encore un peu peur...de moi...des autres...j,ai pas envie que la vie soit un guerre, une bataille..je veux vivre.point. et j'veux croire que c'est si simple que ça au final.

tenter de renouer avec cette source de vie.


et ta tentative de renouer me semble bonne.... parce que déjà là.... il y a: source de vie. Point. Oui. Source de vie. Aussi simple que cela. Non pas à faire, mais à comprendre. Ce que tu fais là, d'abord. Je crois donc que ta route prise est bonne.

Mais j'ai encore un peu peur...de moi...des autres...j,ai pas envie que la vie soit un guerre, une bataille..


Je m'interroge aussi sur cette peur.... de moi et des autres, de la vie, de tout..... elle est là, va-t-elle rester? Pas envie de m'arrêter pour la peur, de figer à cause d'elle, de manquer à cause d'elle..... et je nous dis: elle peut être un moteur, comme tous autre élément négatif.... ils peuvent être des moteurs en ceci: si on les laisse nous prendre, on est foutues... si on les craints, nos peurs.... si on a peur de nos peurs, alors c'est nous qui pouvons s'en foutre et les laisser aller.... Ca vient par à coups, j'imagine... mais ca peut servir à cela, si l'on doit vivre avec elles longtemps, aussi bien qu'elles nous servent.....

je veux vivre.point. et j'veux croire que c'est si simple que ça au final.

Et crois-y ma belle. J'espère aussi que ce soit aussi simple que cela. Bine sûr, tout ne dépend pas que de notre seule personne, mais vivre est simple... il est simple d'arriver au centre du ventre d'une mère, simple d'évoluer gentiment par la nature, alors sûrement aussi simple de vivre, de faire, de manger, de rire.... c'est même plus fort que nous, je dirais, au final. Notre conscience et notre inconscience enregistre souvent les mauvaises choses de notre vécu et l'utilisent parfois pour nous faire croire que c'est dur, et souffrant, et ce l'est en un sens, puisque l'on ressent cette dureté et cette souffrance.... mais si on scrute plus attentivement le reste, on n'a jamais de difficulté à rire, à dormir, à se mouvoir... c'est aussi un peu ca vivre.... et on choisit les mouvements que l'on fait.... on peut choisir simplement...

On aime souvent se faire la vie dure.... mais tu peux la faire plus douce. Je te sens sur la bonne voie. Certes, c'est toujours plus facile de tomber, et cette facilité a une bonne raison: nos émotions sont trop «développée» pour bien tout prendre comme ca vient... et on a besoin d'un peu plus facile, dans nos raisonnements confus... et ca donne la tombée.... Et c'est correcte que la remontée soit lente, cela permet de mieux se connaître et de mieux choisir et d'apprivoiser, on apprivoise lentement, ce qui est plus difficile à nos émotions.

Bonne nuit.

xxx

tes mots sont toujorus aussi réconfortants...merci...j't'aime etj'ai très hâte de te voir !

...et c'est seulement quand tu laisse naître l'espoir, quand tu y crois aussi fort que tu peux, quand tu réapprend à marcher, chancelante mais si fière déjà...c'est seulemnt à ce moment là que tout t'atteint.

Parce que quand tu es déjà par terre, plus rien ne t'atteint, tu vas déjà si mal, un peu plus un peu moins, la brûlure de la blessure se ressent moins.

Quand tout va bien, tu es plus forte, aguerrie par la beauté de la vie, par la facilité de vivre. Les choses te touchent mais tu as la force de passer au travers.

Moi je suis dans le premier cas...tout m'atteint. Trop.

Et je sens que je vais abandonner, et je sais que je ne résisterai pas.

Je ne supporte pas l'échec...j'ai toujours trop l'impression pour me rappeler que je suis moi-même un échec. J'ai eu des échecs amoureux, des échecs professionnels, des échecs sociaux, tout de sorte d'échecs... SAUF scolaires. Je n'ai JAMAIS eu d'échecs scolaires. JAMAIS. Et là ma superviseure qui me dit que je dois travailler fort parce que pour le moment je suis en situation d'échec.

Et là je réalise enfin que je suis bonne à rien...la seule chose qui me restait, ma seule fierté, ma seule passion, tombe en fumée...je ne suis pas bonne...et je ne sais plus ce qu'on attend de moi.

Je vais mal...et je vis mal. Mais stp, quand vous aurez lu ce message, ne m'appeler pas, ne vous inquiètez pas si je ne répond, j'ai besoin de solitude...de m'retouver face à moi-même et de me permettre des larme que je ne verserais pas si d'autres s'en mêlent.

trop de larmes versées...toujours cette impression qu'il y a une montagne dont le sommet est inateignable devant moi...maux de tête atroces...

je réalise que je suis comme un enfant, un rien me désorganise, je perds mes repères et je n'ai plus aucunes certitudes...

cette impression de manquer d'air...de me noyer..cette boule dnas le gorge...me rapelle trop de mauvais souvenirs..

:(

Et là je réalise enfin que je suis bonne à rien...la seule chose qui me restait, ma seule fierté, ma seule passion, tombe en fumée...je ne suis pas bonne...et je ne sais plus ce qu'on attend de moi.


Stop!!!!!!
Relis deux ou trois fois ces lignes et prends conscience de ce que tu viens d'y écrire.... par peine, très certainement et très compréhensiblement... mais wooooo..... Tu n'es pas bonne à rien. Tu n'es pas bonne à rien... tu .... n'es pas.... bonn-à-rien....... ok???? (c'est drôle, dans mon post ou j'écris mon histoire depuis une semine, hier j'en étais justement rendue là: aux notes scolaires...).... et pas parce que tu as 100% que cela te mets une valeur de 100% de l'être que tu es, pas à cause que tu obtiendrais un 30% que tu serais à 30% de ce que tu es.... une note est un moyen de déterminer si les profs sont en acord avec ta facon de comprendre leur propre vision..... so..... à partir de là, le terme échec et le terme réussite ne signifient plus du tout la même chose, à moins d'avoir certains spécimen de prof rares qui voient autrement la notification et les examens.....

situation d'échec: hum hum.. je te rappelle que tu sais très bien ce que tu dois faire.... je te rappelle que tu connais ce que tu es et dans quoi tu étudies, pour quelles raisons que tu le fais et certainement pas parce que tu es bonne à rien..... je te rapelle que tu as subi de réels contre-temps perturbateur au cours de tes 2 dernières sessions et je suis pas mal convaincue que tu travailles encore beaucoup trop.... là stop! Revise tes priorité et ton horaire, arrête de croire qu'il te faut autant d'heures et que tu dois être autant occupée..... mise sur toi-même avant et ensuite, une chose à la fois... Te connaissant, tu dois avoir de l'argent de côté déjà pour votre futur apprt, tu dois avoir quelques objets et matériel domestiques d'achetés, ton homme aussi..... donc, le reste, eh bien tu n'as surement pas ebsoin d'autant d'heures de job.... donc.. (à moins que tu ailes déjà couper...)...
Ensuite, la personne qui t'as dit que tu étais en situation d'échec, c'est quoi qu'elle te signifiais? Un cours en particulier? Un trait de tes stages en particulier? QU'est-ce que cette choses que tu n'aurais pas «comprise et réussie»? Tu peux y remédier? Sûrement, on a toujours une deuxième chance et tu es bonne élève, so.... don't panic....

Tu n,es pas bonne à rien..... l'école peut-être très improtante et valorisante, jusqu,à ce que l'on s'y cloître et s'y repère comme étant la seule valeur possible à l'ensemble de notre personne. Je suis persuadée que tes expériences en garderie et avec les enfants sont de loin un apport réel et grand à tes compétences et ton apprentissage...... tu sais comment être là pour els enfants, comment les divertir, comme en prendre soin psychologiquement et physiquement.... donc à partir de là, revise ce que tu as dit à ton propos et hop: vas dans els moyens de remédier à cette situation chiffrée de la scolarité..... tu n'es pas un chiffre!!!!!


pleure si tu en as besoin, je sais combien c'est pas facile, en septembre tu seras peut-être celle qui me remémorera ces écrits....
je t'aime fort, on se voit bientôt!
xxxxx

Les chiffres...que je déplore... et que parfois j'implore. Les chiffres qui parfios régissent beaucoup trop mon univers. Ce n'est plus l'aiguille de la balance qui m'indique les chiffres qui me font peur maintenant...mais il y en tellement d'autres, partout. Et je les déteste de leur froideur, de leur rigidité, comme si les chiffres ne pouvaient mentir...et pourtant.

Pour le reste. Moment de crise un peu dépassé. Je SUIS une battante. Je continue, je me débat, je me donne à fond, je m'améliore du mieux que je peux. Car je fais ce que j'aime..je SUIS du verbe être) ce que je fais.

Mais je dois avouer que j'ai l'impression d'être dans un étau. Vous savez quand vous avex l,impression de e plus pouvoir respirer tellement c'est serré. J'ai peine à manger, je continue à me forcer par nécessité, mias j'ai un mal de coeur atroce...

La peur me motive en effet, mais en même temps, elle contribue à me fragilser un peu encore. J'essaie d,éviter de trop penser, j,essaie de dormir en core, j,appelle mon homme quand le sommeil est trop difficile...

et je conte les jours...derniers chiffre qui me donne encore de l'espoir...3 semaines !!!

Bisous...merci d'être là

oui 3 semaines!!!!!Ca c'est vrai que cest très clamant comme pensée!!! Ton chez toi!!!! ;P

Ca aussi jen parle: les chiffres... qui sont parfois bien menteurs, parce qu'il n'expriment pas toujours ce qu'ils signifient!!!!.....

petit peu par petit peu.... xxxx

juste : j'ai lu..

je me sens un peu ds la meme situation : ds un etau..

je ne sais trop quoi dire sinon que je trouve ce post malgré tt fort positif, ça se sent que meme si tu remontes lentement, c'est pr que ça soit surrement.. accroche toi... essaies de te laisser des temps de repos. meme si je sais ce que c'est...

je t'embrasse..

J'aurais envie d'être ailleurs, un autre lieu, un autre moment...je dirais meme, sans moi. Parce que je suis trop souvent ma propre limite, mon propre fardeau.

Je tiens farouchement à ma sensibilité, à mon émotivité. Elle fait partie de moi, elle est moi. Ce n'est pas une pathologie, c'est un trait de peronnalité. Mais autant je l'apprécie parce qu'elle me permet de vivre, de sentir et ressentir beaucoup plus fortemet la vie...autant en ce moment elle me mine, me ronge et m'entraîne vers le bas.

je ne sais plus oèu je vais...j'ai pardu mas repères, mes limites, mes frontière... il n'y a que du vide...et le vide résonne en moi...comme un vieux souvenir que je tente d'oublier...

C'est malheureux de savoir, de prévoir...ils disent qu'on ne peut pas, qu'on ne doit pas. Qu'il faut penser positif, voir les choses en face, voir aujourd'hui et ne pas penser à demain...mais malgré tout je SAIS que je ne survivrai pas à l'échec de mon stage...

pourquoi tu crois que tu vas mourir... non cest ridicule et aucunement vrai..
il y a d'autres facons ma belle.. c'est pas LA fin... tu auras soit d'autres stages, soit d'autres facon d'avoir ton droit psrce que tu en es capable et bonne.. de travailler dans ton milieu, cet échec ne détermine en rien le reste à venir...

aller vis-le, ok, mais non cets loin dêtre une fin en soi.. loin loin...

je ne supporte pas l'échec...je sais pas passer à travers...autant j,ai pu être forte et passer à travers des trucs horrible, autant l'échec me erste en travers de la gorge...probablement parce que J,ai toujorus vu çc ocmme mon seul atout...et que là j,ai l'impression de tout perdre...

je suis consciente que tout ça est ridicule...et pathétique...j'me sens idiote dans toute cette histoire...mais tu vois, j'ai pas encore échoué et j,ai déjà envie de me fouttre en l,air..

Ndrou...désolée si je ne réponds pas au téléphone, j'ai enlevé le son...et désolée si je ne renvoie pas les appels...j' suis pas en état de parler, j'ai pas envie de voir des gens...la preuve c'est que je suis même pas avec D. en fds...

j'suis consciente que je ne suis pas une super amie alors que toi tu ne pète pas le feu...j'suis pas un super soutient...j'espère que ce sera mieux cet été...ou enfin d'ici 3 semaines...

congratulation for our new job...tention de ne pas en faire trop..

j't'aime fort lil sunshine

Non pas pathétique, mais je crois que tu ne vois pas ce qui en est comme c'est, mais comme tu as peur que cela devienne. Avoir un stage et ne pas l'accomplir totalement comme prévu n'est pas être en échec. QU'est-ce que l'échec pour toi? Peut-être que si tu cela faisais je ne sais combien d'année que tu étais éducatrice et que quelque chose surviendrais à un petit et que tu n'aurais pas su el voir venir, alors là, peut-être y aurait-il droit d'avoir un sentiment d,chec... Mais là tu commencs à peine, tub as certes de l'Expérience, mais tu débutes... ton cours, en plus tu ne l'as pas vécu dans des situations trop plaisantes d'un bout à l'autre... et malgré tout, tu as donné et j'Espère que tu donnes encore tout ton possible.. ce qui compte énormément..... et qu'en plus, cet échec numérique n'existe pas encore, tu peux très bien reprendre le dessus..... si tu ne te laisses pas à l'auto-sabotage.... et que faire même s'il te fallait faire une deuxièeme stage pour bien achever le tout? Cela ne signifie pas l'échec... cela suppose juste que tu pourras grandement t'améliorer et être bien plus prête pour faire ce que tu auras moins bien fait .... si jamais seulement.... car ton «échec» n'est pas encore....

Et ton seul atout ne sont pas des chiffres et les réussites totales du premier coups.. ton atout (et non pas le seul,. mais dans le cas de l,étude) est le fait que tu t'appliques, que tu aimes ce que tu fais, que tu as un talent, un amour pour els enfants qui n'est pas donné à tous... que tu prends à coeur ce qui touche tes études, que tu ne fais rien à la va-vite, à la légère... tes atouts sont de voir ce qui ne va pas et de pouvoir le changer..... tes atouts sont dans l'expérience concrète que tu as avec les enfants et dans la vie...... alors les critères d'un stage.... pffffff....... c'est choquant, ca peut être décevant.. mais du cou que tu oses aller en parler avec ton «juge» de stage et de voir qulles solutions se proposent à toi, alors tu auras tous les outils pour réussir, avec un petit délai peut-être, mais qui ne signifiera rien contre toi ou contre les compétences réelles que tu possèdes!!!!!!!!!!

Je t'aimeuuhhh et suis très sincère dans ce que je dis....

et tu es mieux de venir la fin de semaine prochaine ici!!!!!

xxxxx

pensées et scuze cette nuit de pas avoir rep sur msn..
sois prudente.. ne te punies pas, essaies d'apprendre de ces remarques... te punir serait vmt une erreur...
et puis tu n'es pas que ce stage non de la.. essaies de prendre du recul, vmt... et de t'obliger a voir au moins D.

j't'embrasse

Je tente de prendre du recul, de me détacher de tout çca et de me concentrer à faire ce dont je suis capable. J'ai tout mis en place pour améliorer les points où il y avait des lacunes. Je continue de poser beaucoup e questions en vue de prendre de bonnes décisions. En berf, je ne laisse pas tomber, pas tant que je n'aurais pas terminé.

M., je tente de faire le plus de travaux possible ce week-end et dans la semaine qui vient pour être sure de venir te voir samedi prochain!

Bisous les filles...merci d'être là

Elle ne connait comme limites que celles de son coprs...et encore...

Une phrase déposée...seule...parce que je n'ai pas les mots ce soir pour dire.

Je suis seule aussi. Dans ma tête. À un endroit ou personne d'autre ne peut entrer. Ou personne d'autre ne veut entrer. C'est si laid. si noir. si froid. Mais j'y suis, parce que j'y vis.

(désolée de monologuer...j'arrive pas à parler et l'écrit est le seul endroit ou je me eprmet de mettre des mots sur mes maux.)

Je ne sais pas d'ou vient cette rage, cette rage de la vie. Contre la vie. Je n'ai jamais cru que la vie était injuste. Est elle. C'est tout. Et pourtant je tempête, je m'enrage contre tout. Moi. Les autres. Mais jusqu'au cosmos, au plus profond de l'univers. J'ai une rage qui dépasse les frontières et qui me gruge.

Une rage qui parfois se transforme en haine. Et je déteste ce sentiment car il n'a rien de beau. La tristesse peut être douce, la colère peut être libératrice, la peur peut être motivatrice...mais la haine n'apporte rien. Jamais. Et cette haine me fait peur, parce que je ne la connais pas, je ne la maitrise pas...et je me sens si petite quand elle m'habite parce qu'elle prend trop de place.

J'suis si perdue. Comme si ici n'était pas chez moi. J'ai l'impression de venir d'ailleurs. Je ne suis pas à l'aise au milieu des autres parce qu'il ne savent pas...ne comprennent pas.